"La classe inversée semble d’autant plus profitable à l’élève que son niveau académique est faible. Alors qu’une étude, menée en France en 2014 par Vincent Faillet, identifiait déjà cette tendance, d’autres recherches ou méta-recherches (démarche scientifique qui combine les résultats d’une série d’études indépendantes) sont venus confirmer cette tendance si l’on s’en réfère aux articles auxquels fait référence Marcel Lebrun, docteur en sciences et professeur en sciences de l’éducation, dans un post publié sur son blog en juillet. "Ce sont les élèves de niveau faible qui sont majoritairement performants en classes inversées", écrit ainsi celui qui est aussi conseiller au Louvain Learning Lab de l’université catholique de Louvain, et qui détaille les résultats de plusieurs travaux publiés entre 2014 et 2018."
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Réseau Canopé