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De nouvelles fourmis invasives en Grèce selon Demetriou et al (2023)

De nouvelles fourmis invasives en Grèce selon Demetriou et al (2023) | EntomoNews | Scoop.it
La liste complète des 15 espèces connues, en plus de la fourmi d'Argentine, comme Cardiocondyla obscurior, Tapinoma magnum, Tetramorium immigrans, Trichomyrmex destructor, Tapinoma melanocephalum, Wasmannia auropunctata.

 

Ce sont surtout les îles qui sont colonisées. Avec de belles photos.
- Demetriou, J., C. Georgiadis, E. Koutsoukos, L. Borowiec and S. Salata (2023).

 

  • Alien ants (Hymenoptera, Formicidae) on a quest to conquer Greece: a review including an updated species checklist and guidance for future research. NeoBiota 86: 81-122. 10.3897/neobiota.86.98157. Pdf

 

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NDÉ

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Number of alien ant species in each Greek administrative division.

 

Tetramorium immigrans seems to be widely distributed, inhabiting ten out of 14 administrative divisions of Greece (Table 2). Nylanderia jaegerskioeldi, Pheidole indica and Cardiocondyla mauritanica follow occupying seven, six and five administrative divisions in Southern Greece and Greek islands, respectively. Alien species found in just one administrative division include C. obscurior and Paratrechina longicornis in South Aegean, S. membranifera collected from Epirus (Salata and Borowiec 2018) and Tetramorium bicarinatum known only from the island of Crete (Salata et al. 2020).

 

via https://neobiota.pensoft.net/article/98157/

 

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L’apparition du supergène des fourmis décortiquée

L’apparition du supergène des fourmis décortiquée | EntomoNews | Scoop.it

"Une étude menée par l’équipe de Laurent Keller au Département d’écologie et évolution de l’UNIL montre comment le supergène qui dicte la vie sociale des fourmis de feu a émergé au cours du temps et s’est propagé au sein des six espèces actuelles. Les résultats viennent d’être publiés dans la revue "PNAS"."

 
Publié du 16 août 2022 au 30 septembre 2022
par Mélanie Affentranger (Communication FBM)

 

"Chez les fourmis de feu (genre Solenopsis), deux formes d’organisation sociale distinctes coexistent au sein d’une même espèce. Dans un cas, les colonies n’abritent qu’une seule reine (forme monogyne), dans l’autre, elles peuvent en contenir plusieurs dizaines (forme polygyne). Le mode de dispersion diffère également puisque dans les colonies monogynes, les nouvelles reines s’envolent pour pondre des œufs et fonder, seules, une société. Dans les colonies polygynes, au contraire, les nouvelles reines rejoignent, généralement en marchant, une communauté préexistante.

 

La clé de la diversité: un supergène «social»

 

L’équipe de Laurent Keller, professeur ordinaire au Département d’écologie et évolution (DEE) de la Faculté de biologie et de médecine de l’UNIL, a découvert, en 2013, que ces variations de structures sociales sont dues à un supergène. Lorsque celui-ci est présent, le mode de vie des insectes est polygyne. Dans le cas contraire, il est monogyne.

 

Situé sur le chromosome 16 des six espèces actuelles de fourmis de feu, ce supergène est apparu à la suite de trois inversions chromosomiques, phénomènes au cours desquels des segments d’ADN se sont brisés et tournés, bloquant le brassage génétique naturel. 476 gènes se sont soudés (formant ainsi le supergène) et sont, depuis, transmis d’un bloc de génération en génération. «Un cas de figure semblable à celui des chromosomes sexuels: nous héritons de X ou de Y complets, pas seulement d’une partie», illustre Laurent Keller.

 

Inversions successives

 

Dans l’étude parue mi-août 2022 dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l’équipe de l’UNIL révèle, grâce à des techniques pointues de phylogénie, que les trois inversions chromosomiques qui ont mené à la création du supergène ont émergé successivement, dans un laps de temps court, il y a environ 500'000 ans.

 

«Contrairement à nos suppositions, le supergène n’est pas apparu chez un seul ancêtre commun à toutes les fourmis de feu actuelles», relève le directeur des recherches, Laurent Keller. En effet, la première inversion s’est produite chez l’aïeul de Solenopsis invicta et Solenopsis richteri. La deuxième a eu lieu au moment de la formation des deux espèces. Enfin, la troisième et dernière inversion est apparue chez Solenopsis richteri. «Le supergène à proprement parler est donc né chez cette fourmi», explique le DrSc. Quentin Helleu, postdoctorant au DEE et premier auteur de l’étude. Il s’est ensuite propagé par hybridation (croisements entre espèces proches). En s’accouplant, Solenopsis richteri l’a dans un premier temps transmis à sa cousine Solenopsis invicta – la plus répandue dans la zone d’origine des fourmis de feu, l’Amérique du Sud – qui l’a dans un second temps très vraisemblablement transféré aux quatre dernières espèces.

 

J’y suis, j’y reste !

 

Les scientifiques ont trouvé très peu de reliques de ces événements d’hybridation dans le génome des fourmis de feu. Seule trace clairement visible: le supergène, qui a bravé 500 millénaires d’évolution pour être présent, aujourd’hui encore, chez les six espèces de Solenopsis. «Il s’agit d’un élément génomique très persistant dans le temps et nos travaux montrent qu’il peut facilement franchir les frontières entre espèces proches, probablement parce qu’il procure de gros avantages aux animaux en termes de reproduction et de survie», détaille Quentin Helleu.

 

Chez les fourmis de feu, l’existence de sociétés polygynes rendue possible grâce au supergène, est en effet bénéfique: les nombreuses reines peuvent se disperser très rapidement pour coloniser, parfois en quelques heures, de nouveaux territoires. Les espèces invasives s’avèrent d’ailleurs souvent polygynes, à l’image de Solenopsis invicta, la plus problématique puisqu’elle ravage les cultures dans les pays où elle a été introduite (principalement aux États-Unis et en Chine), ou de Tapinoma magnum, qui a envahi Cully en 2017 puis s’est répandue ailleurs dans le canton de Vaud (Suisse), notamment à Pully, Saint-Sulpice, Écublens et Lausanne.

Autre exemple d’avantage fourni par un supergène: chez des papillons d’Amérique du Sud (Heliconius numata), un supergène permet à certains individus d’arborer sur leurs ailes les mêmes motifs colorés que des papillons toxiques et de bénéficier ainsi d’une protection contre les prédateurs.

 

Travail de fourmi

 

Les biologistes affinent actuellement leurs recherches pour comprendre quelles régions exactes du supergène contrôlent les différentes caractéristiques sociales et morphologiques des animaux. Plus largement, le groupe de Laurent Keller continue d’explorer les principes génétiques qui régissent les sociétés d’insectes. Dans une étude parue récemment dans Current biology, les scientifiques ont séquencé 65 génomes de fourmis, ce qui leur a permis de construire l’arbre phylogénétique des 17 sous-familles connues dans le monde. Ils ont également démontré que ces insectes sont apparus il y a environ 150 millions d’années et que les grands changements génétiques qui leur ont permis de développer une organisation sociale complexe ont eu lieu durant les premiers 20 millions d’années de leur histoire."

 

 
[Image] Chez les fourmis de feu, un supergène rend possible l’existence de colonies polygynes (à plusieurs reines). Ici, quatre reines matures avec leur cortège d'ouvrières. Crédit : Horace Zeng, Université de Géorgie, États-Unis 
 
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Dans la presse :

 

→ Découverte à Lausanne – Le supergène vecteur de l’expansion des fourmis de feu est transmissible | Tribune de Genève, 15.08.2022 https://www.tdg.ch/le-supergene-vecteur-de-lexpansion-des-fourmis-de-feu-est-transmissible-598457617997

 

→ L’apparition du supergène des fourmis de feu décortiquée | Radio Lac, 16.08.2022 https://www.radiolac.ch/actualite/suisse/lapparition-du-supergene-des-fourmis-de-feu-decortiquee/

 

 
L'étude dans PNAS :

 

Bernadette Cassel's insight:

 

 

Précédemment :

 

  • La découverte d'un supergène conduit à de nouvelles connaissances sur les fourmis de feu - De news.uga.edu - 17 octobre 2020, 18:44

 

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Tapinoma magnum, une invasion de fourmis menace la biodiversité dans les jardins, potagers et maisons de Corse

Tapinoma magnum, une invasion de fourmis menace la biodiversité dans les jardins, potagers et maisons de Corse | EntomoNews | Scoop.it
Plus on cherche à s’en débarrasser, plus elle résiste. Tapinoma magnum est une espèce de fourmi invasive qui crée des supercolonies sur tout le territoire de l’île. Elle s’en prend aux jardins, aux arbres fruitiers, aux autres insectes et peut même causer des morsures bénignes.

 

Par Pauline Sauthier Publié le 30/05/2020 à 20:01 Mis à jour le 31/05/2020

 

"... Sur le site internet du Professeur émérite à l'IRBI, Institut de Recherche sur la Biologie de l'Insecte, Alain Lenoir  une habitante de la rive sud du Golfe d’Ajaccio témoigne :  "Je ne peux plus garer ma voiture sur mon allée, tondre ma pelouse, étendre mon linge. Plusieurs de mes arbres fruitiers sont envahis et meurent. Elles détruisent mon potager. À la moindre vibration d’un pas, on se fait attaquer. Les compteurs électriques, les containers à poubelle sont envahis.""

 

 

[Image] Tapinoma magnum en Corse : le développement de cette fourmi est favorisé par le réchauffement climatique. / Crédit : Office de l'environnement de la Corse

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Suisse. Cully infestée par des milliards de fourmis du Sud

Suisse. Cully infestée par des milliards de fourmis du Sud | EntomoNews | Scoop.it
La Tapinoma magnum n’avait été aperçue que dans neuf villes d’Europe du Nord, avant de débarquer à Bourg-en-Lavaux. Des spécialistes se démènent pour endiguer l’invasion.

 

Publié le 15.02.2018

 

Pas de panique

"Malgré tout, les deux biologistes insistent : il n’y a pas de raison de paniquer. Pour l’homme, la Tapinoma magnum ne représente pas de danger, ni de risque sanitaire. «Elle ne pique pas, mais peut grimper sur les jambes et mordre; c’est désagréable», précise Gérard Cuendet.

 

En revanche, la colonisatrice pourrait démolir la biodiversité. On ne sait pas encore la menace qu’elle représente pour les vignes environnantes, mais il a été observé, dans un potager du périmètre infesté, qu’elle était capable de scier un tronc de choux de Bruxelles ! En Italie, où elle est très présente, on a constaté de gros dégâts dans des cultures de raifort (Seifert).

 

Mais pour Daniel Cherix, le plus gros risque est « que les gens sortent la grosse artillerie. On cherche plutôt un traitement inoffensif pour l’utiliser également dans les maisons. On doit dénicher les failles dans sa biologie pour la contrôler plutôt que tenter de l’éradiquer.» Gérard Cuendet prépare un élevage pour observer ce que la fourmi mange le mieux et préparer des appâts. Aussi, sous la direction d’Anne Freitag, conservatrice au Musée de zoologie, des étudiants de l’UNIL tenteront prochainement de percer les secrets de cette espèce méconnue."

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Suisse. Trois projets de recherche autour des fourmis de Cully | Variétés entomologiques | Scoop.it - From www.24heures.ch - March 3, 11:59 PM
 
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Fourmis en Corse : "Elles sont entrées dans la maison par colonies et ont attaqué les gaines électriques"

Fourmis en Corse : "Elles sont entrées dans la maison par colonies et ont attaqué les gaines électriques" | EntomoNews | Scoop.it

"Depuis quelques années, la prolifération de la Tapinoma magnum ne cesse de s’accentuer dans l’île. Nombreux sont les particuliers à se retrouver quelque peu démunis face à cette espèce invasive, qui arrive parfois jusque dans leurs maisons."

 

Publié le 27/05/2023 à 10h57
Écrit par Alain Stromboni

 

"... l’espèce serait devenue invasive ces dernières années.

"Le réchauffement climatique favorise son implantation et son aspect invasif, explique Cyril Berquier, entomologiste à l’Observatoire des Insectes de Corse qui dépend de l’Office de l’environnement de la Corse (OEC). Il y a d’autres espèces invasives dans l’île, comme la fourmi d’Argentine, mais celle-ci, davantage présente sur le littoral, apprécie plus l’eau qui stagne et le terrain inondé. À l’inverse, la Tapinoma magnum aime les fonds secs, ainsi que les milieux perturbés comme les endroits où la terre a été retournée ou encore les lieux bétonnés avec des sols chauds et secs comme il y en a de plus en plus dans les zones urbaines. C’est d’ailleurs pour cela que l’on peut désormais la retrouver dans des immeubles et des appartements."

"Avant, c'était différent. L'hiver, on n'intervenait pas".

Un responsable d'une société de désinsectisation

 

Autre changement observé dû au réchauffement climatique : une présence et une activité de la Tapinoma magnum et de ses impressionnantes colonies qui s’étalent désormais sur toutes les saisons. C’est ce qu’a constaté ce responsable de la société SOS insectes qui déploie ses équipes sur l’ensemble de l’île :

"Comme on n’a pas d’hiver rigoureux, nous avons sans arrêt des appels pour ces fourmis-là. Avant, c’était différent : l’hiver, on n’intervenait pas. Maintenant, c’est tout le temps. Après, comme il y  a plus de monde lors de la saison estivale, automatiquement, nous avons davantage de cas à cette période-là."

 

"Impuissance"

 

Face à ce fléau, difficile pour les particuliers de lutter et de se débarrasser de cette fourmi omnivore qui s’attaque également aux arbres fruitiers et aux cultures. "On se sent complètement démuni et impuissant face à ces colonies de fourmis", avoue Patrice à Biguglia.

 

Beaucoup ont essayé de les combattre à coups de produits en tout genre. Ce qui ne semble pas être la – bonne – solution : "Nous disons aux gens qu’il y a peu de chance de détruire ces fourmis-là et, en plus, c’est anti-environnement, souligne le responsable de SOS Insectes. On va donc davantage essayer de faire des barrières afin qu'elles n'aillent pas là où c'est embêtant. Les traitements sont davantage axés en ce sens-là afin de ne pas essayer de les détruire. Car si on les détruit, on a une chance sur deux de les déplacer et de les retrouver à l'intérieur des maisons. C’est ce que font beaucoup de gens, ils essaient de les détruire dans le jardin puis ils se retrouvent complètement envahis chez eux."

(...)

 

[Image] À l'inverse de sa "cousine" la fourmi d'Argentine, qui est moins brunâtre, la Tapinoma magnum est noire et sent une odeur particulière lorsqu'on l'écrase entre ses doigts. • Crédit : Office de l'Environnement de la Corse/FTV

 

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Pour en savoir plus

 

 

 

Bernadette Cassel's insight:

 

 

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Pour comprendre les processus d'invasions biologiques, des scientifiques ont étudié chez les fourmis les interactions entre l'urbanisation et les caractéristiques des différentes espèces

Pour comprendre les processus d'invasions biologiques, des scientifiques ont étudié chez les fourmis les interactions entre l'urbanisation et les caractéristiques des différentes espèces | EntomoNews | Scoop.it
High resolution mapping in Southern France reveals that distributions of supercolonial and monodomous species in the Tapinoma nigerrimum complex (Hymenoptera: Formicidae) are related to sensitivity to urbanization

 

Journal: Myrmecological News

Pages: 41-50

 Myrmecol. News 32: 41-50

 

Julia Centanni, Bernard Kaufmann, Rumsais Blatrix, Olivier Blight, Adeline Dumet, Pierre Jay-Robert & Alan Vergnes

 

 

Traduction :

 

La cartographie à haute résolution dans le sud de la France révèle que la distribution des différentes espèces — fourmis à supercolonies et fourmis monodomiques [un seul nid] — au sein du complexe Tapinoma nigerrimum (Hymenoptera : Formicidae) est liée à la sensibilité à l'urbanisation

 

L'urbanisation modifie les environnements dans le monde entier, créant des opportunités pour l'établissement d'espèces invasives, indigènes ou non, un des principaux moteurs du changement global. Pour comprendre le processus d'invasion biologique, nous devons déchiffrer les interactions entre l'urbanisation et les caractéristiques des espèces.

 

Au sein du complexe d'espèces méditerranéen Tapinoma nigerrimum (Hymenoptera, Formicidae), Tapinoma darioi Seifert & al., 2017 et Tapinoma magnum Mayr, 1861 se sont répandus dans les villes d'Europe continentale et présentent des caractéristiques d'espèces "vagabondes". En revanche, T. nigerrimum (Nylander, 1856) n'étend pas son aire de répartition et ne présente pas les caractéristiques des espèces de fourmis vagabondes.

 

Nous avons cherché à savoir si la distribution de ces espèces différait en fonction de l'utilisation des terres. Nous avons choisi Montpellier (France méditerranéenne) comme site d'étude car il combine la présence des trois espèces avec une urbanisation rapide. Les données d'occurrence ont été générées en échantillonnant systématiquement toutes les colonies de Tapinoma sur 926 sites, distants de plus de 500 m les uns des autres, sur une zone de 60 × 25 km. Les espèces ont été identifiées à l'aide de 15 marqueurs microsatellites.

 

Quatre classes de couverture du sol (urbanisation, agriculture, nature, eau) ont été utilisées pour les analyses de paysage basées sur des zones tampons de 250 m de rayon. Tapinoma nigerrimum a été trouvé sur 197 sites (21,27% des occurrences), T. darioi sur 78 sites (8,42%), et T. magnum sur 6 sites (0,65%). La probabilité d'occurrence de T. darioi était positivement corrélée à l'urbanisation jusqu'à un seuil de 75% de couverture imperméable, négativement corrélée à la couverture naturelle, et était plus élevée près de la côte. En revanche, T. nigerrimum était moins souvent présent dans les sites avec une couverture terrestre imperméable et près de la côte, et plus fréquemment dans les zones naturelles.

 

Ces distributions distinctes confirment l'existence d'une association entre l'urbanisation et les espèces présentant des comportements de vagabondage, et soulignent l'importance d'adapter la gestion des terres pour contrôler les invasions biologiques.

 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

[Image] Cartes de distribution des trois espèces du complexe Tapinoma nigerrimum trouvées dans la zone d'échantillonnage. La carte D montre tous les sites échantillonnés où aucune espèce du complexe T. nigerrimum n'a pu être trouvée. La carte E montre la présence de Tapinoma madeirense pour information, bien qu'il ne fasse pas partie du complexe Tapinoma nigerrimum. Tapinoma ibericum n'était présent qu'à Mèze (% urbain = 0,86, près de la côte) et n'est donc pas représenté.

 

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Le complexe taxonomique de Tapinoma nigerrimum est un ensemble de quatre espèces de fourmis :

 

Tapinoma nigerrimum (Nylander, 1856),

Tapinoma darioi Seifert et al, 2017,

Tapinoma magnum Mayr, 1861 et

Tapinoma ibericum Santschi, 1925.

 

La séparation de l’espèce anciennement appelée Tapinoma nigerrimum en quatre espèces distinctes s’est faite récemment, par une étude réalisée par Seifert et al. (2017).

 

Des divergences sur le plan de la démographie, de la distribution géographique et du potentiel invasif existent également entre les différentes espèces étudiées.

 

Complexe taxonomique de Tapinoma nigerrimum — Version du 12 mai 2021 à 17:07 - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Complexe_taxonomique_de_Tapinoma_nigerrimum

 

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Pour en savoir plus :

 

 

 

 

 

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Tapinoma : une nouvelle fourmi envahissante arrive dans le Sud-Ouest

Tapinoma : une nouvelle fourmi envahissante arrive dans le Sud-Ouest | EntomoNews | Scoop.it
Signalée comme invasive en Allemagne, en Suisse, la Tapinoma, qui se déplace en supercolonies, a aussi été observée dans des zones urbanisées de nouvelle Aquitaine, où elle n’a pas encore généré de dégâts notables.

 

Publié le 05.06.2018

 

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Suisse. Cully infestée par des milliards de fourmis du Sud | EntomoNews | Scoop.it - From www.24heures.ch - March 3, 7:46 PM

 

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