EntomoNews
438.3K views | +49 today
Follow
EntomoNews
Dernières nouvelles des insectes, collemboles, myriapodes et autres arthropodes...
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Halloween : les enfants peuvent se gaver, mais pas les adultes

Halloween : les enfants peuvent se gaver, mais pas les adultes | EntomoNews | Scoop.it
Les scientifiques comprennent maintenant pourquoi les enfants peuvent se gaver de bonbons le soir de l'Halloween, tandis que les adultes doivent s'arrêter après quelques friandises.


Des chercheurs de l'Institut Buck, un organisme américain voué à l'étude du vieillissement, ont découvert que l'organisme de jeunes mouches à vinaigre, connues sous le nom scientifique de drosophiles, leur permet de s'adapter facilement à un changement soudain de leur alimentation, mais que ce mécanisme commence à se détraquer au fur et à mesure qu'elles vieillissent.


Leur étude met en cause le gène FoxO, qui est présent partout dans l'organisme (autant des humains que des mouches), mais surtout dans les muscles, le foie et le pancréas. Ce gène peut aussi réguler la réponse du métabolisme à l'insuline.


Ce gène peut s'activer ou se désactiver très aisément chez les jeunes animaux, ce qui permet une transition aisée d'une alimentation à une autre. Les chercheurs ont expliqué qu'il s'agit d'une adaptation évolutive qui favorisait la survie des jeunes individus.


En revanche, en vieillissant, le gène FoxO cesse de réagir à l'insuline et demeure constamment activé, ce qui peut entraîner une inflammation chronique de l'intestin - d'où le malaise ressenti par les adultes qui pigent trop allègrement dans la récolte de leurs enfants.


Les conclusions de l'étude sont publiées dans le journal scientifique Cell Reports.


[l'étude] Misregulation of an Adaptive Metabolic Response Contributes to the Age-Related Disruption of Lipid Homeostasis in Drosophila: Cell Reports, 26.09.2013 http://www.cell.com/cell-reports/abstract/S2211-1247%2813%2900428-2

                             

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Des monstres de science-fiction... de 20 microns

Des monstres de science-fiction... de 20 microns | EntomoNews | Scoop.it

 

VIDEO - Des scientifiques canadiens ont découvert l'existence de deux micro-organismes vivant dans l'estomac des termites, dont l'apparence et le mode de déplacement seraient proches de ceux... des pieuvres.

 

[...]

 

Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque vivent en symbiose avec le métabolisme des termites, en aidant ces dernières à digérer le bois qu'elles ingèrent. D'autres micro-organismes de ce type avaient déjà été détectés dans le système digestif des termites, mais ils étaient plus gros (50 à 150 microns) que Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque, alors que ces derniers ne dépassent pas les 20 microns.

 

[L'étude] Cthulhu Macrofasciculumque n. g., n. sp. and Cthylla Microfasciculumque n. g., n. sp., a Newly Identified Lineage of Parabasalian Termite Symbionts - PLoS_ONE, 18.03.2013

http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0058509


___________________________________________________________________

SUR LE MÊME SUJET (repéré le 18/08/2015) :

→ Acetogenesis from H2 plus CO2 and nitrogen fixation by an endosymbiotic spirochete of a termite-gut cellulolytic protist - PNAS, 16.04.2015 http://www.pnas.org/content/early/2015/05/14/1423979112.abstract

                             

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

[2010] Le génome de la mouche pour mieux comprendre les origines de l'obésité

[2010] Le génome de la mouche pour mieux comprendre les origines de l'obésité | EntomoNews | Scoop.it
Les mouches à fruits pourraient permettre de mieux comprendre les facteurs de base et les origines de l'obésité, selon l’étude publiée dans l’édition de novembre de la revue scientifique Cell Metabolism. Parce que de nombreux tissus et gènes sont impliqués dans l’obésité, la mouche est un modèle de recherche intéressant car plus simple que les mammifères et qui réagit pourtant, selon les conclusions de l’étude, de manière analogue à un régime riche en graisse.

 

High-Fat-Diet-Induced Obesity and Heart Dysfunction Are Regulated by the TOR Pathway in Drosophila


Bernadette Cassel's insight:


Photo Jean Luc Kerveadou - www.galerie-insecte.org


No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Perception du temps : pourquoi la mouche vit dans un monde au ralenti et les enfants sont si impatients ?

Perception du temps : pourquoi la mouche vit dans un monde au ralenti et les enfants sont si impatients ? | EntomoNews | Scoop.it
L’idée que les mouches voient le temps passer plus lentement, en percevant nos brusques mouvement de la main, visant à les attraper, comme aussi rapide que le redressement du Costa Concordia, n’était pas étrangère à votre Guru.

 

[...]

 

L’étude publiée sur Animal Behaviour : Metabolic rate and body size are linked with perception of temporal information. http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003347213003060

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Papillon : un métabolisme actif augmenterait l'espérance de vie

Papillon : un métabolisme actif augmenterait l'espérance de vie | EntomoNews | Scoop.it

 

Quel est le secret des mélitées du plantain, des papillons, pour vivre plus longtemps ? Il semblerait qu’un métabolisme actif plus important, c’est-à-dire une plus grande activité physique, leur soit bénéfique. Une évidence ? Pas vraiment : dans le règne animal, vivre à cent à l’heure est souvent synonyme de mourir jeune.

 

À travers cette étude, les biologistes Kristjan Niitepõld et Ilkka Hanski, de l’université d’Helsinki, ont cherché à déterminer la relation entre l’espérance de vie et la dépense énergétique. Un individu a-t-il un métabolisme constant au cours de sa vie ? Y a-t-il un rapport entre métabolisme et durée de vie ?

 

Bernadette Cassel's insight:

 

→ A long life in the fast lane: positive association between peak metabolic rate and lifespan in a butterfly

http://jeb.biologists.org/content/early/2012/12/18/jeb.080739.abstract#aff-1

 

 

No comment yet.