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Des mutations génétiques chez le parasite Plasmodium falciparum pourraient être à l'origine de la résistance observée à un traitement préventif contre le paludisme

Des mutations génétiques chez le parasite Plasmodium falciparum pourraient être à l'origine de la résistance observée à un traitement préventif contre le paludisme | EntomoNews | Scoop.it

"Genetic diversity of the Plasmodium falciparum GTP-cyclohydrolase 1, dihydrofolate reductase and dihydropteroate synthetase genes reveals new insights into sulfadoxine-pyrimethamine antimalarial drug resistance"

Anna Turkiewicz,
Emilia Manko,
Colin J. Sutherland,
Ernest Diez Benavente,
Susana Campino,
Taane G. Clark

PLOS Genetics
Published: December 31, 2020

[via] Recherche animale sur Twitter, 07.01.

2021 : "#Malaria: genetic mutations in the Plasmodium falciparum parasite at the origin of the observed resistance to sulfadoxine-pyrimethamine ? https://twitter.com/recherche_anima/status/1347127099203735552

 

_______________________________________

 

Pour en savoir plus :

 

→ L'OMS recommande les TPI à base de sulfadoxine-pyriméthamine (SP) dans toutes les zones d'Afrique où la transmission du paludisme est d'une intensité modérée à sévère.
1 mai 2017
 
via OMS | Traitement préventif intermittent du paludisme (TPI) pour les femmes enceintes https://www.who.int/malaria/areas/preventive_therapies/pregnancy/fr/
 
 
→ Paludisme : MSF fournit un traitement préventif à 735 000 enfants au Niger, au Mali et au Tchad | Médecins sans frontières, 12 novembre 2014 - mis à jour le 2 avril 2018 https://www.msf.fr/actualites/paludisme-msf-fournit-un-traitement-preventif-a-735-000-enfants-au-niger-au-mali-et-au-tchad
 
La chimioprévention du paludisme saisonnier (CPS) a montré des résultats extrêmement prometteurs sur la réduction du nombre d’enfants atteints par cette maladie au Sahel. L’engagement des populations est primordial pour atteindre un maximum d’enfants dans des zones isolées. Pour combattre les autres principales maladies infantiles mortelles, MSF a ajouté à cette stratégie des activités de vaccination et de détection de la malnutrition.

 

La CPS consiste en une combinaison de sulfadoxine-pyrimethamine et d’amodiaquine administrée chaque mois aux enfants âgés de moins de cinq ans et ce pendant trois jours, tout au long de la saison des pluies (de juillet à octobre), lorsque le risque de transmission est le plus élevé.

 

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Journée mondiale du paludisme : cinq défis dans la lutte contre la maladie - Médecins Sans Frontières

Journée mondiale du paludisme : cinq défis dans la lutte contre la maladie - Médecins Sans Frontières | EntomoNews | Scoop.it
Bien que le nombre de cas et de décès liés au paludisme soit en constante diminution depuis 15 ans, cette maladie continue d’être à l’origine de plus de 400 000 décès chaque année, essentiellement en Afrique (90% des décès) et chez les enfants (70% des décès).

Mieux prévenir, diagnostiquer et soigner, limiter la propagation du parasite : pour pouvoir faire face aux multiples défis que pose la maladie, la lutte contre le paludisme doit combiner plusieurs stratégies.

 

Médecins Sans Frontières, 22.04.2016

 

 
La résistance aux insecticides

"La lutte anti-vectorielle, composante essentielle des stratégies de contrôle du paludisme, vise à réduire l’exposition des personnes aux piqûres de moustiques grâce à l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide, la pulvérisation d’insecticides dans et autour des habitations et l’élimination des larves de l’insecte, entre autres.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en 2014, plus de la moitié de la population africaine avait accès à une moustiquaire, contre 2% en 2000. Cependant, le niveau de résistance des moustiques aux pyréthrinoïdes, principaux insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, est en augmentation. Bien que la documentation sur ce phénomène reste fragmentaire, une réduction de l’efficacité de ces insecticides a été rapportée dans plusieurs pays où MSF intervient. Malgré ce constat, des moustiquaires imprégnées avec des produits dont l’efficacité est limitée continuent d’être commandées dans plusieurs pays où la maladie sévit."           
                       
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Cinq questions à... Jill Seaman, médecin en zone de guerre - National Geographic

Cinq questions à... Jill Seaman, médecin en zone de guerre - National Geographic | EntomoNews | Scoop.it
Jill Seaman a consacré des décennies à chercher le meilleur moyen d’apporter la médecine moderne aux populations persécutées du Soudan du Sud. Cette Américaine y est arrivée en 1989, lors d’une des pires épidémies que l’Afrique a connues (due au parasite appelé kala-azar) et en pleine guerre civile.

 

[...]

 

Le kala-azar, transmis par une piqûre de diptère, déclenche une fièvre débilitante et une dépression profonde. La mort survient en quelques semaines. La maladie se soigne mais, en 1989, à mon arrivée au Soudan avec Médecins sans Frontières, les malades ne  disposaient d’aucun traitement dans le bush. Nous avions donc besoin de faire de la recherche pour fournir traitements et diagnostics de pointe dans une hutte en terre sèche. C’était l’objectif de l’essentiel de nos recherches, et il reste d’actualité.

 

[...]

 

Bernadette Cassel's insight:

 

SUR WIKIPÉDIA :

 

→ Leishmaniose viscérale

http://fr.wikipedia.org/wiki/Leishmaniose_visc%C3%A9rale

 

« La leishmaniose viscérale (LV), également connue sous le nom de kala-azar, ou de fièvre noire, est la forme la plus grave de leishmaniose. Il s'agit d'une maladie causée par un parasite du genre Leishmania . Parmi les parasites c'est le deuxième plus grand tueur dans le monde (après le paludisme), l'un et l'autre étant responsables chacun d'un demi-million de décès estimés dans le monde entier1.

 

[...]

 

Le Kala-azar est transmis par un insecte vecteur, le phlébotome du genre phlébotome dans l’ancien monde et le genre de Lutzomyia dans le Nouveau Monde. Ce sont des créatures minuscules, 2 ou 3 millimètres de long, que l'on trouve dans les régions tropicales ou tempérées du monde entier. Les larves de phlébotome se développent dans la matière organique chaude et humide, aussi les vieux troncs d’arbres, les murs de maison ou les ordures sont leurs terrains de prédilection multipliant les réservoirs ce qui les rend plus difficile à éradiquer. [...] »

 

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Combattre la fièvre jaune en Angola

Combattre la fièvre jaune en Angola | EntomoNews | Scoop.it
Médecins Sans Frontières est en ce moment en mission en Angola et en République Démocratique du Congo. A Matadi, l'organisation a vacciné 370.000 personnes contre la fièvre jaune. Il s'agit d'une mesure préventive.

La fièvre jaune appartient à la même famille que le virus Ebola, mais est transmise par les moustiques. 50% des personnes touchées par le virus meurent de ses conséquences, notamment suite au dysfonctionnement des reins ou du foie. Seule la vaccination est efficace - et peu chère.

Communiqué de presse

Tessy Fautsch, de retour de mission en RDC : « Jusqu'à 50% des patients sévèrement touchés par la fièvre jaune meurent dans les 14 jours »

(...)

Bernadette Cassel's insight:
 
SUR ENTOMONEWS - From www.francetvinfo.fr - February 24, 10:36 AM :

→ Épidémie de fièvre jaune en Angola
 
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L’envenimation, un fléau mortel négligé

L’envenimation, un fléau mortel négligé | EntomoNews | Scoop.it
Tribune. Pour le chercheur Jean-Philippe Chippaux, spécialiste des maladies endémiques, il faut d’urgence prendre des mesures afin de traiter les victimes de piqûres de scorpion ou de morsures de serpent dans les pays en développement.


Le Monde, 16.06.2015


« La 6e Conférence internationale sur les envenimations en Afrique a pris fin le 5 juin à Abidjan (Côte d’Ivoire) dans l’indifférence des organisations internationales – à l’exception notable de Médecins sans frontières – et empreinte de la gêne des autorités sanitaires de la quinzaine de pays africains discrètement représentés. » 


« Les piqûres de scorpion en Afrique du Nord et morsures de serpent en Afrique subsaharienne sont responsables respectivement de 750 000 envenimations avec 1 700 décès et 320 000 envenimations dont une dizaine de milliers de morts et autant de séquelles entraînées par des amputations fortement handicapantes. Encore faut-il préciser que seuls les patients enregistrés dans les centres de santé sont comptabilisés. Les études menées au sein des communautés depuis une vingtaine d’années montrent que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. [...] »

                          

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