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Au fil des dernières décennies, les paysages façonnés par une agriculture intensive ont été le théâtre d’une perte significative au sein des groupes taxonomiques d’insectes, révélant une réduction spectaculaire de 95,1% de la biomasse totale en seulement 24 ans, selon une étude publiée dans Pest Science en 2023. Cette réalité complexe souligne l’urgence d’explorer comment ce déclin favorise l’émergence de bio-ravageurs, nécessitant une analyse approfondie. Générations Futures Le 20 janvier 2024 ------- NDÉ Ajout au 29/01/2024 "Plus la biodiversité disparaît dans les paysages agricoles, plus les ravageurs se développent ! Le changement climatique offre de meilleures conditions pour les pucerons qui n'ont plus de prédateurs pour les réguler... " via Benoît GILLES sur X, 27.01.2024 https://twitter.com/PassionEntomo/status/1751182076114501666
Flower plantings promote insect pollinator abundance and wild bee richness in Canadian agricultural landscapes Published: 28 April 2022 Journal of Insect Conservation
Stephen G. Van Drunen, Jessica E. Linton, Gregory Kuwahara & D. Ryan Norris [Image] Change in abundance (A) and richness (B) between years per group. Abundance is number of individuals while richness is number of genera for wild bees and otherwise the number of taxonomic families for insect guilds. Points represent each plot’s abundance or richness in each year, with lines connecting each plot’s points to help visualize the direction of change between years per plot. Point shape and line color represents province (AB = Alberta, MB = Manitoba, SK = Saskatchewan). Points are jittered on the x-axis to improve readability ------ NDÉ Traduction Le déclin mondial des populations de pollinisateurs est une préoccupation constante du point de vue de la biodiversité et de la sécurité alimentaire. Une initiative de conservation croissante dans les paysages agricoles est l'établissement de fleurs sauvages sur les terres marginales afin de fournir des ressources florales et un habitat aux pollinisateurs. Cependant, l'efficacité de ces efforts de conservation et de restauration n'est pas toujours évaluée. Nous avons évalué l'efficacité d'une initiative privée de conservation des pollinisateurs en (1) comparant l'abondance et la richesse des insectes entre les parcelles de fleurs plantées et les parcelles de contrôle et (2) en évaluant les changements d'une année à l'autre. Pendant deux ans, des parcelles de fleurs plantées et des parcelles de contrôle situées au Canada ont été étudiées pour les insectes à l'aide de méthodes d'observation visuelle, de filets et de piégeage à l'aide de bacs. Les pollinisateurs, en particulier les abeilles sauvages, ont été nettement plus nombreux et plus riches dans les parcelles plantées que dans les parcelles témoins. La taille des parcelles n'a pas eu d'effet sur l'abondance et la richesse des insectes, ce qui indique que même les plantations de fleurs à petite échelle peuvent être bénéfiques pour les communautés de pollinisateurs. Alors que l'abondance et la richesse des arthropodes pollinisateurs, prédateurs et herbivores sont restées stables ou ont diminué d'une année à l'autre, probablement en raison de conditions météorologiques défavorables au cours de la deuxième année de l'étude, l'abondance et la richesse des abeilles sauvages ont augmenté au cours de la même période. Nos résultats montrent que les plantations de fleurs peuvent être un outil de conservation efficace pour augmenter l'abondance et la biodiversité des pollinisateurs et des abeilles sauvages dans les paysages agricoles. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
Au-delà de quelques heures d’exposition aux ondes électromagnétiques, cet ancien professeur de technologie « brûle ». Le tribunal de Digne-les-Bains l’a autorisé à rester illégalement sur une propriété de l’Office national des forêts dans les Alpes-de-Haute-Provence au nom du droit à la santé. Par Hubert Prolongeau (Entrepierres [Alpes-de-Haute-Provence], envoyé spécial) Publié hier à 05h30, modifié hier à 15h54 [Image] La vallée du Vançon vue depuis le pont de la Reine-Jeanne, à Entrepierres (Alpes-de-Haute-Provence), le 23 juillet 2022. Il faut faire près de 3 kilomètres sur la piste forestière pour arriver au campement de Philippe Tribaudeau, en zone blanche. ARTHUR MERCIER
Les analyses menées par le Réseau européen d’action contre les pesticides dans dix pays de l’Union montrent une présence généralisée de l’acide trifluoroacétique, qui appartient à la famille des PFAS, à des niveaux élevés. Par Stéphane Mandard Publié hier à 06h55, modifié hier à 09h30
CHRONIQUE. Des travaux toujours plus précis permettent d’évaluer les effets du réchauffement et de l’effondrement de la biodiversité sur la stabilité des prix, dont la Banque centrale européenne est garante. L’occasion de mettre la défense de l’environnement au cœur de sa politique, estime Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique. Publié hier à 06h00 [Image] The cumulative marginal effect of temperature shocks on food and headline inflation
Les petites histoires d'un jardin bio, les insectes les oiseaux, les fleurs sauvages, etc.
À l’origine, la loi du 2 février 2023 est le résultat d’un compromis entre d’une part, une nécessité de rendre les clôtures qui se multiplient dans les paysages français, moins dommageables pour la biodiversité, et de l’autre, en contrepartie, une volonté de rassurer les propriétaires. Quels droits pour les promeneurs, entre droit d’accès à la nature et propriété privée ? (extrait) Mégane Basset Avocat au Barreau de Grenoble - Chargée de travaux dirigés, Université Grenoble Alpes (UGA) Publié: 17 mai 2024, 12:39 CEST Mis à jour le : 21 mai 2024, 16:04 CEST "Le premier objectif de cette loi a donc été de répondre à l’explosion récente de la pratique de l’engrillagement visant à clôturer des terrains privés avec des conséquences directes sur l’environnement et la biodiversité : impact sur les corridors écologiques, morcellement des habitats naturels…
Cette loi est ainsi venue modifier certaines dispositions du code de l’environnement afin d’y inscrire les nouvelles caractéristiques des clôtures : posées à 30 centimètres au-dessus de la surface du sol, hauteur limitée à 1m20, non vulnérantes pour la faune, réalisées en matériaux naturels définis par le SRADDET (Schéma régional d’aménagement de développement durable et d’égalité des territoires).
Le code de l’environnement précise désormais que les clôtures existantes (sauf certaines exceptions comme les élevages équins ou les exploitations agricoles par exemple) implantées dans les zones naturelles ou forestières délimitées par les règlements des plans locaux d’urbanisme, ou à défaut d’un tel règlement, dans les espaces naturels, doivent être mises en conformité avant le 1er janvier 2027 en ne portant pas atteinte à l’état sanitaire, aux équilibres écologiques et aux activités agricoles ou forestières du territoire." [Image] Un grillage apposé autour d’une forêt privée The Conversation, CC BY
Le gouvernement profite de la loi sur l’orientation agricole pour détricoter la règlementation sur les espèces protégées en forêt. Publié le 22/05/2024 Rédigé par Canopée "Quel est le point commun entre le sonneur à ventre jaune, le pic noir et la Rosalie des Alpes ? Ce sont toutes des espèces qui vivent en forêt et qui sont protégées. Aujourd’hui, si vous détruisez l’habitat de l’une de ces espèces, vous pouvez être sanctionné de 3 ans de prison et 150 000 € d’amende en application de l’article L. 415-3. Pendant longtemps, cet article de loi a été relativement peu appliqué. Faute de moyens. Mais avec la création et le déploiement de l’Office Français de la Biodiversité, les procès-verbaux ont commencé à se multiplier. Une tentative de passage en force Face à la bronca de la filière, le ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des territoires a lancé un groupe de travail sur les travaux forestiers et les espèces protégées. En mai 2023, une feuille de route a été publiée. En substance, rien de bien nouveau : cette feuille de route recommande d’améliorer l’accès aux informations sur la présence d’espèces protégées avant un chantier et de mieux définir les modalités d’intervention pour réduire les impacts. Surtout, cette feuille de route se garde bien de préconiser un changement de réglementation pour une bonne raison : cela relève du droit européen. Nous y reviendrons. Un an plus tard, c’est un changement de stratégie. À travers l’article 13 de ce projet de loi, et surtout l’amendement qu’il vient de déposer, le gouvernement propose d’exonérer de sanctions pénales les auteurs d’infraction à l’article. L. 415-3 si cette infraction n’a pas été commise de façon intentionnelle. Cette absence d’intentionnalité se justifiant, toujours d’après le gouvernement, par l’existence d’un document de gestion forestière (prévu à l’article L.122-3). Une stratégie risquée et très fragile juridiquement (...) ------ via Arnaud Gossement sur X, 23.05.2024 "Le Gouvernement va proposer demain au députés (qui débattent de la loi d’orientation agricole) de réduire au maximum le risque de poursuite des auteurs de délits de destruction d’espèces protégées. Analyse sérieuse à lire ici ⬇️" https://x.com/ArnaudGossement/status/1793691878648664191
"Gestion durable des forêts, de l’eau, des sols, prévention des cancers, lutte contre les perturbateurs endocriniens, cerveaux en danger, antibiorésistance… Les scientifiques se prêtent au jeu et répondent aux préoccupations du citoyen. Très illustrée et pédagogique, cette exposition propose un état des lieux des recherches en cours et fait le lien entre alimentation, environnement et santé humaine." 5 ilôts de 3 panneaux sont proposés sur des thématiques : • Agroforesterie : des arbres pour une agriculture durable Le peuplier noir : une ressource génétique à conserver Sécheresse, canicule, ... sale temps pour nos forêts • Les antibiotiques, c'est pas automatique ! L'hôte et son intestin, un dialogue complexe Pollution : cerveau en danger ! • Lutter contre les perturbateurs endocriniens en Centre-Val de Loire Dis-moi ce que tu manges, je te dirais ce que tu es... Prévention des cancers par l'alimentation • Du cuivre dans les sols viticoles, quelles alternatives ? Biodiversité : l'urgence d'assurer la durabilité des systèmes Climat et cycle hydrologique : entre manque et excès, une gestion compliquée ? • Stop aux pertes et gaspillage alimentaires ! Les volailles, du champ à l'assiette Des insectes dans les gamelles !
Dans le cadre de l'exposition "L'Odyssée sensorielle", Colin Fontaine nous embarque dans le monde fascinant des insectes des prairies. Avec --- Colin Fontaine, biologiste, chercheur en écologie au CNRS et MNHN. "Une grande diversité d'animaux vit dans ce microcosme où les odeurs s'entremêlent et la communication est subtile. Grâce à leurs antennes, les pollinisateurs parviennent à capter l'odeur des plantes et celles-ci peuvent signaler leur manque de nectar !"
Les villes ont longtemps été considérées comme dénuées d'intérêt pour quiconque souhaite observer la nature, en particulier sa composante floristique. SAUVAGES DE MA RUE, sTREEts, LICHENS GO... des programmes de sciences participatives pour découvrir les PLANTES et les LICHENS. Les « mauvaises herbes »… Ce n’est plus tout à fait le cas et encore moins depuis que les communes ont abandonné l’usage des produits phytosanitaires (loi Labbé du 1er janvier 2017) et incluent l’amélioration de l’environnement dans leurs politiques de gestion. Tout un chacun peut ainsi repérer de nouvelles pousses ou des fleurs inattendues au pied de sa porte et s’interroger sur leur identité. Pas toujours facile de mettre un nom derrière trois bouts de feuilles, c’est vrai mais pas besoin d’être botaniste chevronné non plus ! C’est ce que propose le programme Sauvages de ma rue. (...) [Image] Cerastium glomeratum ------ NDÉ via fpeyrissat sur iNaturalist → Cymbalaire et Xanthorie – Observer la biodiversité en ville https://sauvagesrues.wordpress.com/ Lichens GO · iNaturalist https://www.inaturalist.org/projects/lichens-go
Ivan Scotti ingénieur spécialiste des forêts méditerranéennes à l'INRAE Paca nous explique que nos arbres fruitiers sont des espèces entomophiles, cela signifie que ce sont les insectes qui assurent la plus grande partie du transport du pollen . Le vent participe légèrement à ce transport, mais la production qu'il permet est très faible par rapport à celle offerte par les insectes. De Nathalie Mazet Lundi 13 mai 2024 à 6:25 Mis à jour le lundi 13 mai 2024 à 17:36
La cour d’appel de Riom confirme le jugement sur la culpabilité de la commune de Séneujols (Haute-Loire). Communiqué FNE Jeudi 16 mai 2024 "... La commune avait volontairement fait arracher un important linéaire de haies et de murets en 2019 à l’occasion d’une manifestation agricole. Ces habitats naturels sont en voie alarmante de disparition malgré leur rôle central dans la préservation de la biodiversité des campagnes. Retour sur les faits C’est pour faciliter l’accès aux parkings mis en place pour la manifestation agricole « Terres de Jim » que la commune avait ordonné l’arrachage de haies et la destruction de murets en pierres sèches à l’été 2019 le long de chemins communaux. Or ces haies et murets sont des refuges pour de nombreuses espèces protégées d’oiseaux et de reptiles qui y nichent, se nourrissent ou s’y reproduisent : pie-grièche écorcheur, bruant jaune, tarier pâtre ou encore vipère péliade. Quant à la pie grièche grise, espèce en danger suivie dans le cadre d’un plan régional d’actions, sa présence est aussi avérée sur cette commune. Ces travaux ont de plus été réalisés pendant la période de reproduction de certaines de ces espèces protégées. Alors que la réparation des dommages environnementaux causés a été proposée à l’amiable par les associations de protection de l’environnement puis par les autorités administratives et ensuite par les autorités judiciaires, la mairie de Séneujols a refusé toute coopération. Au vu des constats d’infraction dressés par l’OFB (Office Français de la Biodiversité – Police de l’environnement), la commune de Séneujols avait alors été déclarée responsable de la destruction d’habitats d’espèces protégées par le tribunal du Puy-en-Velay. Elle a ainsi été condamnée à replanter un linéaire de 740 mètres de haies et à réaliser une construction de murets de pierres sèches en compensation. Ce jugement est aujourd’hui confirmé par la cour d’appel de Riom." [Image] Chemin-devenu-route-murets-haies-arasés
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"Le chardon béni (Cnicus benedictus) est une plante de la famille des astéracées qui pousse également sous notre climat. Depuis des siècles, il est utilisé comme plante médicinale sous forme d'extrait ou de thé, par exemple pour aider le système digestif. Des chercheurs du centre de pharmacologie de l'hôpital universitaire de Cologne et de la faculté de médecine de l'université de Cologne ont maintenant trouvé une toute nouvelle utilisation de la Cnicine sous la direction du Dr Philipp Gobrecht et du professeur Dr Dietmar Fischer. Des modèles animaux ainsi que des cellules humaines ont montré que la Cnicine accélère considérablement la croissance des axones (fibres nerveuses)." Un nouveau composé issu du chardon béni favorise la régénération fonctionnelle des nerfs - Des chercheur·euses ont trouvé une nouvelle utilisation pour la Cnicine 24.04.2024 "... L'administration d'une dose quotidienne de cnicine à des souris ou à des rats a permis d'améliorer beaucoup plus rapidement la paralysie et la neuropathie. Par rapport à d'autres composés, la cninine présente un avantage crucial : il peut être introduit dans la circulation sanguine par voie orale (par la bouche). Il n'est pas nécessaire de l'administrer par injection. "Le dosage correct est très important, car la cnicine n'agit que dans une fenêtre thérapeutique spécifique. Les doses trop faibles ou trop élevées sont inefficaces. C'est pourquoi il est essentiel de poursuivre les études cliniques sur l'homme", a déclaré M. Fischer. Les chercheurs de l'université de Cologne planifient actuellement des études pertinentes. Le Centre de pharmacologie recherche et développe des médicaments pour réparer le système nerveux endommagé." ------ NDÉ
Êtes-vous partant pour un "safari entomologique" ? Que vous soyez porté par une curiosité naturaliste ou par le souci de voir s'épanouir les plantes de votre jardin sans massacrer inutilement la petite faune qu'elles abritent, cet ouvrage vous procure des clés indispensables et intelligentes pour apprendre à connaître et à reconnaître plusieurs centaines d'insectes et autres arthropodes associés aux plantes de nos régions. Une approche originale qui présente à la fois la description des végétaux et celle des insectes qui vivent à leurs dépens. Collection : Guide pratique Publication : 23 mai 2024 "Découvrez qui sont ces insectes, où et quand les trouver, et comment ils influent sur les plantes. En plus de la reconnaissance des insectes, ce manuel offre des informations sur l'origine des plantes, leur culture, leur cycle de vie et leur étymologie. Issus de la revue Insectes et mis à jour pour cette édition, ces textes, rédigés par des entomologistes pédagogues, sont une ressource précieuse pour les amateurs de jardinage et de nature." Année de première publication : mai 2012
En France, une vaste enquête participative a été lancée par le Museum national d’Histoire naturelle et par la Société française pour l’étude et la protection des mammifères (SFEPM). En 2021, selon les données intermédiaires de l’enquête, on apprenait que les mammifères représentaient 68 % des espèces prédatées par les chats. En partenariat avec Destination Santé - Hier à 20:00
"Parmi les quelque 200 espèces que menace le chat, 22 % sont des oiseaux et 8 % des reptiles. Les autres espèces, moins de 3 %, sont des insectes, des amphibiens, des poissons, des araignées, des gastéropodes."
Elles courent, grimpent, prolifèrent, colonisent la canopée, privent les arbres d’eau et de lumière, menacent des pans entiers de la forêt tropicale. Ce sont elles les grandes gagnantes du réchauffement. Et c’est franchement inquiétant. par Vincent Nouyrigat, publié le 22 mai 2024 (abonnés)
------ NDÉ L'étude "... However, lianas are not only detrimental. They maintain and enhance forest biodiversity (Gentry, 1991; Schnitzer & Bongers, 2002; Schnitzer & Carson, 2001) and boost soil fertility and carbon cycling through their leaf-litter productivity and turnover, which are consistently higher than those of trees per unit biomass (Estrada-Villegas & Schnitzer, 2018; Schnitzer, 2018; Tang et al., 2012). Additionally, lianas can benefit other plants, animals, soils and overall ecosystem function in both intact and disturbed forests by providing them with a wide range of protective services or ‘bandage effects’ (Marshall et al., 2020). This is particularly important for forest management, where increasing consideration of liana cutting may help tree growth but harm other vital ecosystem functions (Finlayson et al., 2022). Therefore, investigating how disturbances and competition from lianas affect trees is deemed essential for successfully restoring the world's forests (Marshall et al., 2023).
Comment créer un jardin sauvage, plein de vie et riche en biodiversité? Comment faire venir les animaux sauvages dans votre jardin ? Que vous ayez une poignée de mètres carrés ou plusieurs ares de terrain, que devez-vous mettre en place pour promouvoir la vie animale et plus globalement la biodiversité chez vous. 26 mai 2024 "Je suis parti à la rencontre d’une ingénieure agronome passionnée de jardinage depuis son enfance et qui nous partage ses trucs et astuces pour accueillir au jardin oiseaux, mammifères, amphibiens, insectes et vers."
Managing Fall Armyworm. A guide to low cost pest management approaches ------ NDÉ Traduction Lutte contre la chenille légionnaire d'automne Un guide sur les méthodes de lutte antiparasitaire à faible coût La chenille légionnaire d'automne (FAW, Fall Armyworm), de son nom scientifique Spodoptera frugiperda Smith, est un ravageur invasif qui est arrivé pour la première fois en Afrique subsaharienne en 2016. C'est un ravageur du maïs et d'autres céréales, bien qu'il puisse manger de nombreuses plantes. Lorsqu'il est arrivé pour la première fois, craignant les dégâts qu'il pourrait causer, les gouvernements régionaux ont débloqué des millions de dollars pour acheter et distribuer des pesticides aux agriculteurs. Malheureusement, beaucoup de ces produits chimiques n'étaient pas efficaces. En outre, l'utilisation abusive des pesticides chimiques présente de graves risques pour la santé humaine et l'environnement [Image] Protéger les épis contre les dégâts causés par la légionnaire d'automne Si une culture est modérément ou fortement infestée pendant la phase végétative, la chenille légionnaire d'automne peut parfois causer de sérieux dommages aux épis. Pour éviter cela, les agriculteurs peuvent utiliser du maïs fraîchement planté comme culture piège. Juste avant la floraison, 2 à 4 rangées de maïs sont plantées autour de la parcelle (ou le long des chemins à l'intérieur de la parcelle). Au fur et à mesure que le jeune maïs émerge, la chenille légionnaire se dirige vers les jeunes plantes, protégeant ainsi les épis. La culture piège peut être détruite après la récolte des épis.
Les fortes précipitations du printemps en France s’expliquent par le réchauffement de l’atmosphère. Cette situation devrait se reproduire à l’avenir, accompagnée d’étés de plus en plus secs. Par Emmanuel Clévenot 23 mai 2024 à 09h18 Mis à jour le 24 mai 2024 à 09h37 "... pourquoi ce printemps est-il marqué par de telles précipitations ? Cette tendance n’est-elle pas contradictoire avec le changement climatique ? « Bien au contraire, c’en est même un symptôme », assure le climatologue Robert Vautard. Une loi physique, la formule de Clausius-Clapeyron, est à l’origine de ce phénomène. Des événements de plus en plus extrêmes Que dit-elle ? « À l’augmentation de température de 1 °C, correspond une augmentation de l’humidité de l’atmosphère de 7 %, poursuit le directeur de l’Institut Pierre-Simon-Laplace. Autrement dit, à mesure que le climat se réchauffe, la vapeur d’eau stockée au-dessus de nos têtes se multiplie. » Or, l’air ayant une certaine capacité à contenir celle-ci, une fois le seuil dépassé, elle finit par se condenser, former des nuages et se transformer en pluie. « Résultat : le cycle de l’eau est accéléré par le changement climatique et les précipitations sont plus fréquentes. » Et contrairement aux apparences, le printemps 2024 a été l’un des plus chauds jamais enregistrés en France. Les températures observées sur la période 1er mars-20 mai sont les septièmes plus hautes depuis le début des relevés dans les années 1930, offrant des conditions propices à l’humidification de l’atmosphère.
WEBINAIRE 🎬️Découvrez la fascinante diversité des organismes qui peuplent les sols et contribuent à leur fonctionnement avec QUBS : le programme de suiv Opie TiVi L'antenne des insectes, 23 mai 2024 ------ via Lettre d'informations - Mai 2024 Vigie Nature, 23.05.2024
Dans tous les jardins du monde, il y a des fourmis. Sans qu’on s’en rende compte, ces fourmis construisent de véritables villes sous nos pieds. En ce moment, ces villes secrètes se réveillent. Faune Sauvage La mission des fourmis éclaireuses après l'hibernation "Les premières ouvrières à sortir sont celles qui ont hiberné juste sous la surface. Leur mission ? Se gorger de soleil, réchauffer leurs petits corps au maximum. Une fois le plein d’énergie fait, elles replongent dans la cité encore pétrifiée par le froid. Cette mission est essentielle car les fourmis endormies dans les profondeurs ne pourront pas se réveiller toutes seules. Comme un petit radiateur mobile, l’ouvrière diffuse à chaque pas un peu de la chaleur qu’elle a emmagasiné à ses collègues. Et la magie opère ! Articulations après articulations, les petits corps se dérouillent, les cerveaux se réveillent."
Piqueur, suceur, sauteur : le Centrote cornu – alias la Cigale épineuse – porte un casque étrange qui lui vaut le surnom de Demi-diable. Publié le 16 mai 2024 ------ via Un jardin dans le Marais poitevin sur X, 19.05.2024 "Les larves du Demi-diable - alias la Cigale épineuse - se dotent d'une protection spumeuse, le fameux "crachat de coucou". Comme leurs cousines Cicadelles, Cercopes et Membracides. Sans danger pour les plantes hôtes. #Jardin Plus sur le site : https://t.co/JAE5txX2Xc https://t.co/KgOIih3959" https://x.com/ChroniqueJardin/status/1792052698847625544
Votée dans la nuit de jeudi à vendredi par les députés, la réécriture de l’article 1 retire du code rural les ambitions chiffrées pour l’agriculture biologique et pour les cultures de légumineuses. Par Mathilde Gérard et Laurence Girard Publié aujourd’hui à 05h00, modifié à 08h12 Extrait "... « Évidemment, des objectifs dans la loi, ça n’est souvent pas respecté, mais symboliquement, ça fixe un cap, réagit la députée écologiste de la Drôme, Marie Pochon. Ce retrait, c’est un signal qu’accroître les surfaces en bio et en légumineuses n’est plus un objectif pour le gouvernement en matière de souveraineté alimentaire. » Pour Aurélie Trouvé (La France insoumise, Seine-Saint-Denis), « ce qui s’est passé jeudi soir, l’air de rien, est grave et le symbole de la régression agroenvironnementale du gouvernement »." (...)
Le projet du gouvernement de planter 1 milliard d’arbres est « une supercherie », dénoncent des associations. D’après des documents obtenus par Reporterre, il servirait à financer des coupes rases et à industrialiser la filière.
L’État plante des arbres pour mieux raser des forêts. C’est la réalité cachée du projet de plantation de 1 milliard d’arbres vanté par Emmanuel Macron. Dix-huit mois après son annonce en grande pompe, au lendemain des incendies de l’été 2022, le plan qui avait pour ambition de « (...)
Le Panache jaune ne mesure que 7-8 mm. Hors les impressionnantes antennes bien sûr. Les femelles en sont dépourvues. Elles n'ont même pas d'ailes ! Un jardin dans le Marais poitevin Chronique d'un potager en bord de Sèvre niortaise 13.05.2024 ------ via Un jardin dans le Marais poitevin sur X, 15.05.2024 "Superbement "encorné", le petit Drile jaunâtre est un discret auxiliaire au jardin où les petits escargots sont autant de casse-croûte pour ses larves. #Coléoptère #InsecteAuxiliaire #Jardin #MaraisPoitevin" https://twitter.com/ChroniqueJardin/status/1790593016954081695
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Consulter la préface de Louise Fresco, President of the Executive Board of Wageningen University & Research in The Netherlands
via La fabrique de l'agronomie - De 1945 à nos jours - (EAN13 : 9782759235421) | Librairie Quae : des livres au coeur des sciences
https://www.quae.com/produit/1743/9782759235421/la-fabrique-de-l-agronomie